"The enjoyment of lone travel is intensified by voyaging in a canoe, for this isolates more completely than any other mode." (McGregor, The Rob Roy on the Baltic).
(Le plaisir du voyage solitaire est encore plus fort en canoe, qui nous isole plus que tout autre mode de voyage)
Quest by Canoe
Glasgow to Skye
Alastair M. DUNNETT
1950 ?
The Travel Book Club, 1950 ? (183 p.)
Le récit d'une croisière écossaise des années 30, le long de la côte ouest, entre Glasgow et l'île de Skye, par Alastair Dunnett et Seumas Adam. Les deux pagayeurs, totalement novices, se sont fait construire des kayaks en bois, et ont principalement navigué en mer, à la pagaie et à la voile.
Intérêts :
- Le type de bateau : des bateaux démontables en une partie centrale et deux parties amovibles, avant et arrière.
- Croisière en mer : les marées, le vent, la voile, les vagues et le surf sur les vagues.
- L'auteur nomme canoës ce que nous appellerions kayaks en bois ou périssoires.
The Canoe Boys
From the Clyde Past the Cuillins
Sir Alastair M. DUNNETT
Neil Wilson Publishing, 1995
Ed. Neil Wilson Publishing, 1995 (208 p.)
Réédition intégrale du récit de 1950, Quest by Canoe, avec les mêmes illustrations. Seul le titre a été modifié.
A Thousand Miles in the
Rob Roy Canoe
John MACGREGOR
Sampson Low Martson & Co, 1892
Sampson Low, Martson & Company, 1892, 18è éd. (270 p.)
1ère éd. 1866 (en format pdf ici).
John MacGregor, membre du Royal Canoe Club (Angleterre), raconte trois mois de croisière sur son Rob Roy (kayak tout bois). Un aller-retour de plus de mille miles de Londres en passant par la Belgique, les Pays Bas, l'Allemagne, la Suisse, la France, en bateau, train et charrette.
Pour un survol de son itinéraire, voir la préface et page 140.
Intérêts :
- Ses préparatifs ont été difficiles par manque de données. Même le Club Nautique Parisien ne connaissait rien des rivières françaises (p.5). De nombreuses cartes se sont révélées fausses.
- La tenue vestimentaire de MacGregor (p. 7).
- La nouveauté que représente un kayak et la façon de le propulser (p. 13).
- MacGregor connaissait déjà les villes traversées. Son intérêt a été renouvelé par la manière de les revisiter : en bateau.
- Les bains flottants sur les rivières (p. 20).
- Le Royal Canoe Club anglais possède des kayaks biplaces. Ils ont aussi déjà plusieurs types de constructions : chêne, cèdre, pin, écorce, toile, tôle, papier, caoutchouc (p. 29).
- Les dangers que sont les restes de construction des ponts (barres de fer...) mais aussi les cordes des bacs, tendues en surface (p. 71).
- L'auteur explique pourquoi, sur terrain plat, les villes sont construites loin des rivières : le danger de crue (p. 74).
- Les lavoirs flottants (p. 82).
- MacGregor conseille et s'impose le repos dominical (p. 83).
- Sur son bateau stable, il réussit à installer son mât en pleine eau (p. 110).
- La distance parcourue chaque jour dépend particulièrement du nombre d'obstacles à franchir (p. 125).
- Le plaisir d'avoir franchi un beau train de vagues (p. 129).
- Les rapides semblent plus difficiles vus du rivage car on les voit dans leur ensemble alors que les vagues semblent plus petites que quand on y est (p. 148).
- L'intérêt de reconnaître le rapide à pied, du bord, avant de s'y lancer (p. 152). Évident mais toujours actuel.
- C'est en France qu'il s'est vu refuser pour la 1ère fois l'accès au train avec son bateau (p. 168).
- Après 10 autres voyages de ce genre, l'auteur prétend que la pagaie de rechange est superflue (p. 187).
- Il a rencontré beaucoup de pêcheurs en France et très peu en Allemagne (p. 202).
- Les différents noms donnés à ce type de bateau, dans les différents pays, dont : périssoire, chaloupe, canot (mais pas kayak) (p. 219).
- Dans certaines villes de la fin de la Marne, il rencontre de nombreuses périssoires (p. 224).
- Vers Le Perreux, beaucoup de petits bateaux de plaisance ; ce qui l'étonne (p. 232). Il note avec humour l'ingéniosité des français qui ont inventé des "machines à marcher" sur l'eau : deux flotteurs aux pieds [les podoscaphes] (p. 233).
11th ed. Sampson Low, Martson, Searle & Rivington, 1880 (258 p.)
Édition antérieure à celle ci-dessus présentée (1892).
Intérêts :
On y trouve des Annexes, dont :
- Plusieurs modèles de canoës existent. D'autres modèles sont plus rapides mais le Rob Roy est le mieux adapté au confort en croisière au long cours (p. 239).
- 700 canoës au Canoe Club. On peut les distinguer en trois familles : les bateaux de course (18 à 25 pieds de long et longue pagaie), les bateaux légers (18 pieds), les Rob Roy (aptes à la voile, au portage dans des conditions difficiles) (p. 240).
- Liste de matériel emporté à bord : pagaie, drapeau, voile, mât, trousse de réparation (vis, clous...), le sac de vêtements, brosse, peigne, passeport, guides et cartes, pipe et tabac, médicaments... Rien d'inutile ne doit être emporté ; pas même une mouche sur le pont ! Et liste de matériel inutile (p. 240).
The Rob Roy
on the Baltic
John MACGREGOR
Sampson Law, 1892
Sampson Low, Martson & Company, 1892, 9è éd. (264 p.)
1ère éd. 1867
Deuxième voyage en canoë du Britannique McGregor. Après un tour sur rivières et lacs d'Europe l'année précédente, c'est en eau salée, rivières et grands lacs d'Europe du nord et dans un Rob Roy amélioré qu'il entreprend sa deuxième croisière. Norvège, Suède, Danemark, Allemagne.
Intérêts :
- Le matériel a été amélioré : bateau plus léger, plus étroit, plus court, avec une caisse pour les vivres (pouvoir camper et ne plus forcément demander l'hospitalité aux locaux). La pagaie et la voile ont aussi été modifiées (p. 2).
- Il n'est pas si facile de trouver son chemin dans les grands lacs, sans courant (p.24).
- Il rencontre du bois flotté qui lui barre entièrement la rivière (p. 25).
- Les quatre cartes pour suivre son itinéraire.
- Il mentionne une course de canoë à quatre places (organisée en 1872 par la section universitaire de Cambridge du Canoe Club). Il précise que pour ce type de bateau, la pagaie simple est mieux que la double (p. 121).
- L'auteur témoigne de l'essai d'un étrange bateau : un siège fixé sur deux canoës, espacés comme un pédalo (photo ci-dessous). On se déplace à l'aide d'une très longue pagaie double à petites pales. Il explique qu'il en a rencontré sur le continent et s'étonne qu'il n'y en ait pas plus en Grande Bretagne (p. 165).
- L'annexe sur la description de son bateau, avec quelques plans (p. 243).
The Rob Roy
on the Jordan, Nile, Red Sea...
John MACGREGOR
Murray, 1876
Murray, 1876, 5è éd. (458 p.)
Intérêts :
- Son bateau a un pont en cèdre, le bordé en chêne (p. 3). Il mesure 14 pieds de long, 26 pouces de large et un pied de profondeur (p. 13). Il a été allégé de 60 livres (p. 87).
- MacGregor dit de lui-même qu'il est le Commodore du Royal Canoe Club (p. 30).
- Conseil technique pour passer un virage serré par la méthode de la valse (actuel bac arrière). Il est probablement le premier a parler technique de rivière. [à rapprocher de De Wogan 1887 qui donne aussi quelques conseils de navigation en eau vive].
- Concernant ce Rob-Roy : il a été construit autour de MacGregor allongé, de sorte que le voyageur puisse y dormir allongé. 14 pieds x 26 pouces et 72 livres (avec pagaie, mât et voile). On peut démonter une partie du pont qu'on sur-élève et soutient par la pagaie. Ca fait un toit pour la moustiquaire. On y ajoute un tapis de sol gonflable, le sac à vêtements en guise de coussin. (p. 412).
- Le chariot (qui n'a pas servi) a été optimisé en poids et volume : 2 roues coniques en bois, cerclées de laiton ou cuivre, un axe en acier dans un bloc de cuivre et une pièce en bois pour recevoir la quille du bateau (p. 415).
- L'itinéraire au jour le jour (p. 426).
Down the Orinoco
in a Canoe
S. PEREZ TRIANA
Heinemann, 1902
Ed. William Heinemann, 1902 (255 p.)
Trois amis partent à cheval du nord de Bogotá pour une descente de l'Orénoque en canoë. Il vont embarquer sur des affluents de l'Orénoque (la Tua, la Meta, le Muco et la Vichada) avant de poursuivre sur le fleuve jusqu'à l'océan Atlantique. C'est un voyage au milieu de la forêt vierge, des Indiens, des moustiques et de l'eau.
Intérêts :
- Ils achètent deux petits canoës et engagent de nombreux pagayeurs qu'ils paient en nature (mouchoir, bouteille vide, sel, cravate...) (p. 120), ce qui fait au total 22 personnes. Ils débutent sur une si petite rivière qu'ils doivent souvent pousser les bateaux (p. 74).
- Ils avancent de 5 h du matin à 11 h, mangent et repartent de 15 h à 18 h (p. 82).
- Ils achètent deux grands canoës (p. 104).
- Ils croisent un Indien, qui pagaie debout sur son canoë. La rencontre a du lui laisser un souvenir fort. Son canoë est tout petit : 2 m de long (p. 132).
- Les Indiens sont de bons constructeurs de canoës, faits dans des troncs creusés (p. 155).
- Ils se paient un guide (Gatiño) pour passer les rapides dangereux de l'Orénoque (p 176). Ils vident les bateaux et les passent en partie à la cordelle mais aussi avec seulement 5 rameurs.
- Le canoë de leur guide est plus large et plus profond, de manière à mieux le charger (p. 173).
- Les mauvais traitements que les Blancs font subir aux Indiens : intimidations, vols, meurtres... (chp. 14).
- L'Orénoque est gigantesque et le vent et les vagues les freinent dans leur progression. Ils décident de s'arrêter aux heures où le vent souffle le plus de face. Mais il est si fort qu'ils ne peuvent pas en profiter pour manger ni se reposer : impossible de faire démarrer un feu ; le vent soulève tant de sable qu'il gêne la respiration (p. 213).
- Ils arrivent à l'océan Atlantique.
'Kingfisher' abroad
Jonathan Cape Ltd, 1938 (250 p.)
Descente de la Moselle, du Danube et du Neckar par un couple de britanniques (Tommy et Tean Rising), dans leur kayak double, le "Kingfisher" (ou Martin pêcheur), en été 1936. Leur bateau ne semble pas avoir d'intérêt particulier, sauf celui d'être britannique, donc pas spécialement beau ! Ils en parlent peu et ne le considèrent pas au regard de ceux qu'ils croisent en Allemagne.
1936 en Allemagne, ce sont les Jeux Olympiques de Berlin mais surtout la montée du Nazisme et la popularité d'Hitler (entre autres p. 80).
Intérêts :
- La popularité du CK en Allemagne et Autriche (p.17). Les auteurs découvrent l'organisation de leur Fédération nationale pour la randonnée kayak. Un club dans chaque ville servant de "Kanuheim" (p. 29), "gîte pour canoës" (au même titre qu'un refuge sur un chemin de grande randonnée pédestre) : gîte et couvert, terrain de camping, ponton à bas prix et la convivialité-hospitalité à ces camps.
- Quatre marque de bateaux : Klepper, Leipziger, Hammer, Pionier (p. 30).
- "Ahoi !" est l'appel de bienvenue des kayakistes (p. 33).
- La toilette matinale du kayakiste campeur : du savon sur tout le corps et plongeon dans la rivière pour se rincer (p. 33).
- Les vignes sur les bords de la Moselle.
- Sur le Danube, ils descendent jusqu'à 15 km/h sans pagayer (p. 85). Parfait pour profiter du paysage tout en digérant.
- La Wachau, belles gorges du Danube autrichien, redoutées pour les vagues provoquées par les bateaux commerciaux (chapitre XII, p. 157).
- Rencontre d'un constructeur (Hongrois ou Autrichien ?) : M. Fürst (p. 179).
- La Moselle de Trier à Güls (près de Coblenz) en 4 jours ; le Danube de Ulm à Budapest en 26 jours et le Neckar de Heilbronn à Diedesheim en 1 jour.
- Les auteurs croisent un genre de vieux Rob-Roy, sans en donner les détails (p. 96).
Canoe Touring Abroad
Gabriel SEAL
Hale, 1969
en cours de lecture...
Ed. Hale, 1969 (210 p.)
Récits de croisières classiques en kayak pliant sur les rivières de France et d'Allemagne. C'est écrit à la manière d'un guide de rivière ; tout y est : histoire, architecture, géologie, ornithologie, vie sur les péniches, dans les villages, gastronomie, crues... mais aussi, bien entendu, des souvenirs de voyage en trains et bus avec le kayak, le camping, le ravitaillement, les impressions le long de ces longs cours d'eau. Le ton est neutre : ni humour exagéré ni emphase ; juste les impressions vécues sur ces courants.
Intérêts :
- Il regrette le manque de popularité de la randonnée en canoë en Grande Bretagne (comparé à la France et l'Allemagne) et l'explique par les courtes distances offertes par les petites rivières britanniques, le climat peu engageant et le grand nombre de barrages imposant de fastidieux portages (p. 12).
- Ils évitent parfois de débarquer aux écluses en profitant du passage de gros bateaux pour lesquels les écluses sont ouvertes (p. 20). Parfois aussi, ils se font remorquer par les péniches et montent à bord.
- Saône (Saint-Jean-de-Losne au Rhône), Rhône (Lyon à la Méditerranée), Seine (Chatillon-sur-Seine à Paris), Loire (Roanne à Nantes), Dordogne (Argentat à Saint-Foie), Vézère (de Montignac à la Dordogne), Garonne (de Saint-Gaudens à Gagnac), Tarn, Meuse (de Commercy à ???), ...
- La haute Seine est encombrée d'arbres tombés en travers de l'eau et de barrages (p. 29). Il a préféré la section de Plaines à Chappes pour les nombreux petits seuils. A partir de Chappes, le sol plus meuble provoque un lit plus encavé et de forts méandres (p. 31).
- Il s'étonne de voir des femmes laver leur linge aux lavoirs (p. 31).
- Il conseille la Loire pour la randonnée canoë au vu du seul portage sur ses 600 km de descente de Roanne à Nantes (p. 38).
- Il a adoré les 15 km de Vézère du Moustier aux Eyzies (p. 53).
- La Meuse est très lente mais très belle. Surtout dans ses gorges, à partir de Charleville-Mézière ; plus boisées en France et rocailleuses en Belgique.
...
Water-Music
in SQUIRE, Solo and Duet, The Reprint Society, 1943 (205 p.)
Croisière de 15 - 20 jours de deux britanniques sur canaux et rivières du centre Angleterre. Squire qui aime les églises et son ami William Bliss qui espère voir un martin-pêcheur.
Oxford - Southam par l'Oxford canal, Warwick par le Grand Union canal, descente de l'Avon jusqu'à Tewkesbury, transport pour rejoindre la Tamise à Cricklade et la descendre jusqu'à Oxford.
Intérêts :
- Ils demandent l'autorisation de traverser une propriété, ce qui est apprécié par le propriétaire (p. 222).
- Ils franchissent une écluse, actionnée par l'éclusier (p. 232).
- Il y a parfois tant de vent de face que l'un d'eux descend du bateau et le hâle du bord, comme une péniche par un cheval de trait (p. 238).
- Remarque qu'il reviendrait moins cher de faire transporter le bateau par le train (prix du billet) plutôt que de naviguer sur canal (prix du droit de passage) en Angleterre.
Importantes digressions hors de la croisière canoë.
Canoeing in the Wilderness
Clifton Johnson, 1916 (198 p.)
En juillet 1857, Thoreau et un ami, guidés par un Indien, font un tour en canoë dans les bois du Maine, par rivières et lacs, au départ de Bangor. Le bateau en écorce de 18,25 pieds de long, 2 pieds et 6,5 pouces de large, 1 pied de creux (p. 14) a été fabriqué par l'Indien. Ils sont très serrés dans ce bateau, le paquetage prenant beaucoup de place.
Nombreux portages pour passer de lac à rivière, pour franchir une chute, un barrage de lac, un rapide... Et les moustiques omniprésents.
Intérêts :
- Traverser un lac dans un si petit bateau n'est pas très rassurant, voire prudent (p. 16).
- L'indien utilise sa couverture de nuit comme voile, sur le lac (p. 24).
- Utilisation de racines d'épinette noire pour la couture (p. 49).
- Il arrive aux Indiens fatigués de dormir au fond de leur bateau, en plein lac (p. 102).
- Les illustrations colorées.
- Les restes d'un ancien site indien de construction de canoë (p. 158).
- L'Indien enseigne à Thoreau le coup de pagaie à l'Indienne (p. 188) : la main supérieure sur le manche (non sur la poignée), on ramène la pale sur l'avant en la faisant glisser dans l'eau pour contrôler la direction (au lieu de donner un coup de redressement ou col de cygne et de la ramener en la soulevant hors de l'eau).
Canoeing Down the Rhone
Chapman & Hall, 1957 (164 p.)
La descente du Rhône (de Lyon à Méditerranée par Grand Rhône), par quatre britanniques dans deux kayaks (des canoës dans le texte) : le Silver Fish et le Crosspatch.
Intérêts :
- La défiance de bon nombre de gens qu'ils ont rencontrés quant à leur projet, notamment les professionnels de la fluviale et de la mer mais aussi les villageois.
- Avantages de la randonnée en kayak : pas cher, facilement stockable et transportable, rapide, confortable, stable, spacieux, demande peu d'effort et pas de compétence préalable, facilement
réparable.
- N'ont pas craint le vol de leurs bateaux car les ont laissés amarrés à quai alors qu'ils allaient au restaurant à Lyon ou passaient la nuit à l'hôtel.
- Avantage d'un chariot en bois, qui flotte : on n'a pas à porter le bateau hors de l'eau pour fixer le chariot au-dessous ; on le fait dans l'eau et on le retire quand le bateau est retourné
à l'eau (p. 61).
- Les guides CCF semblaient exagérer l'importance des rapides et la dangerosité de certains obstacles. Le souci le plus grand a été de bien croiser les barges.
- Les panneaux kilométriques indiquant la distance au départ de Lyon (p. 23).
- Moustiques après Pont Saint Esprit (p. 83 & 99).
- De nombreux conseils en tous genres dans les "Appendices", dont :
"Come back, my thoughts, to the river at my feet." (MacGregor, A 1000 miles..., p. 80).
"Again the lake narrowed between fine cliffs into a flowing neck of bright clear water, and the river stream bore the canoe gently on until evening [...]" (MacGregor, The Rob Roy on the Baltic, p. 48).
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